Le Volkswagen Transporter doit vous être familier
Synergies obligent, la septième génération du fourgon allemand est étroitement dérivée du Ford Transit Custom, lancé l’année dernière. Cela se voit tout de suite dans la silhouette, le traitement des surfaces et la forme des projecteurs, qui sont calqués sur l’utilitaire américain. Le Volkswagen Transporter est désormais proposé en deux longueurs (5,05 m et 5,45 m) et deux hauteurs de toit, pour loger jusqu’à 9m3 de volume utile, tandis que la charge utile passe à 1,33 tonne. Voilà pour la version « utilitaire ». Car de son côté, la version « civile » Caravelle est bien maintenue au catalogue, et propose toujours huit ou neuf places selon les configurations, et tout un panel d’équipements et de décorations pour la distinguer du « combi » Transporter.
Diesel, hybride rechargeable et même électrique !
Sous le capot, trois motorisations diesel sont proposées, respectivement de 110, 150 et 170 chevaux, ainsi qu’une version hybride rechargeable (PHEV) de 232 chevaux. À l’instar de son cousin chez Ford, le Transporter/Caravelle sera aussi disponible en électrique, via des motorisations de 136, 218 et 286 chevaux, associées à une batterie de 64 kWh. Une version « urbaine » à moindre puissance et petite batterie arrivera dans un second temps, sans que ses caractéristiques techniques n’aient été communiquées. À noter aussi que le TDI de 150 chevaux sera le seul éligible (en options) à la transmission intégrale 4Motion. Les nouveaux Transporter et Caravelle seront visibles à la rentrée au Salon des véhicules commerciaux d’Hanovre (du 17 au 22 septembre), avant une arrivée en concession prévue courant 2025.