My-eScooter, l’entreprise nivelloise spécialisée dans la fabrication et la distribution de trottinettes électriques veut relancer le débat autour des avantages fiscaux de la mobilité douce dans les entreprises.

Coyote, qui collabore avec la Police Fédérale de la route, continue à communiquer les signalements de conducteurs fantômes. Le nombre de « fantômes » sur le seul mois d’octobre a de quoi… faire peur.

Voilà qui devrait mettre fin à la saga autour de la future norme de dépollution Euro 7 : la Commission parlementaire de l’environnement, de la Santé publique et de la sécurité alimentaire a voté en faveur d’un report de son entrée en vigueur en 2030 au lieu de 2025 tel qu’initialement prévu.

Plusieurs grandes métropoles, dont Bruxelles, viennent de remettre au Parlement européen une pétition demandant des normes d’émissions plus strictes.

Cela ne vous a pas échappé : le gouvernement flamand a annoncé l’octroi d’une prime de 5.000 euros à l’achat d’une voiture électrique à partir du 1er janvier 2024. Mais pour Gianni Isella, le Managing Partner de Volty, plateforme de multi-mobilité électrique, celles-ci auraient pu être moins restrictives.

Le réseau qui devait compter 19 stations à la fin de cette année n’en comptera finalement… aucune. La faute au manque de rentabilité.

Techniquement rentable, la méthode ne favoriserait guère le réel bilan environnemental de la voiture électrique…

Ce 16 septembre débutera comme chaque année la semaine de la mobilité. A cette occasion, Coyote renouvelle son opération de prévention en diffusant des messages de sécurité routière en se focalisant cette année sur l’alcool au volant et la cohabitation avec les deux roues.

Une réserve de 120 millions de tonnes de lithium aurait été découverte entre l’Oregon et le Nevada. Ce serait une excellente nouvelle pour les défenseurs de la voiture électrique, mais tout n’est pas gagné.

« L’émergence des véhicules électriques partagés contribuerait fortement à un sentiment d’insécurité croissant sur la route ». Voilà ce qui ressort d’une étude de Cyclomédia, entreprise néerlandaise spécialisée dans la prise de vue à 360° en espaces publics. Plus de la moitié des habitants de la capitale pensent d’ailleurs qu’il faudrait les interdire !