Beeline : le fossoyeur des GPS
À peine plus volumineux qu’une montre, il est fourni avec une connectique universelle (vous le placerez facilement même sur une hypersport) et doté d’une autonomie supérieure à 30 heures de fonctionnement et qui atteint six mois en standby !
Pour profiter du Beeline, il faut acquérir le boîtier (entre 179 et 229€ suivant la finition désirée) et le coupler à son application dédiée gratuite offrant une cartographie mondiale. Appairer les deux est d’une facilité déconcertante. Dès lors, il n’y a plus qu’à choisir sa destination et à se laisser guider. Au fond, le Beeline, c’est un peu le « boule/flèche » de l’ère numérique ; il n’affiche que l’essentiel mais avec efficacité. On y voit la direction actuelle, la direction de la prochaine bifurcation et la distance qui vous en sépare, la quotité parcourue sur le total du trajet, le numéro de la sortie sur les giratoires et la direction à suivre dans les fourches. Parfaitement étanche (norme IP67), l’écran très lisible du Beeline est un verre blindé ne craignant ni les chocs ni les rayures. Au niveau de la précision du guidage, le Beeline est aussi précis que notre TomTom. Nous étions également curieux de comparer les deux dispositifs en cas d’erreur ou si on décide de ne pas suivre l’itinéraire suggéré. Là encore, le Beeline n’a rien à envier à un GPS classique.
En résumé, ce Beeline est vraiment une belle découverte : quelle facilité (à placer, à emporter, …), quelle efficacité et quelle polyvalence puisqu’il dispose aussi d’un mode vélo ! Loin de n’être qu’un gadget, il est devenu pour nous, en quelques semaines, un indispensable copilote ! (R.S.)