Coup de tonnerre dans l’univers automobile ce dimanche soir : Carlos Tavares, le tout puissant CEO de Stellantis a présenté sa démission, avec effet immédiat !

Fans de F1, à vos écrans ! Ce 29 novembre, la plateforme de streaming a mis en ligne une mini-série consacrée au héros de toute une génération : Ayrton Senna.

La marque autrichienne a lancé des procédures de restructuration pour éviter la faillite. L’entreprise a besoin de plusieurs centaines de millions € à court terme, et sa dette globale est tout simplement abyssale.

Ce 27 novembre 2024, à l’occasion de son discours de ré-investiture à la tête de la Commission européenne, Ursula von der Leyen a affirmé vouloir dialoguer avec les constructeurs sur la transition électrique.

Image aussi cocasse que douloureuse : quelque part en Idaho, l’heureux acheteur d’une Lamborghini Diablo a probablement senti son cœur s’arrêter au moment de la livraison…

Cette déclaration choc, faite anonymement par un cadre de la marque au Financial Times, fait suite au « Mode Urgence » proclamé officiellement lors d’une conférence de presse il y a quelques semaines.

Dans un rapport publié il y a quelques semaines, Amnesty classe les constructeurs de VE selon le degré de respect des droits de l’homme dans leur chaine d’approvisionnement. Le verdict n’est pas brillant.

Après avoir été rejetée en janvier dernier, la candidature de Cadillac et Andretti est finalement acceptée par Liberty Media. Le team sera sur la grille dès 2026.

Oui, il y a bien un anachronisme dans le titre, car le groupe Stellantis n’existe que depuis 2021. Mais en réalité Peugeot, Citroën, Fiat et Lancia étaient déjà partenaires en 1994, pour le développement d’un quatuor de monospaces anti-Renault Espace...

Dévoilée en juin dernier, la Tourbillon, dernière-née de la marque alsacienne, aura notamment pour mission d’offrir à cette dernière un nouveau record historique : celui d’être la première automobile à franchir la barre des 500 km/h