« J’ai fait un rêve »

il y a 1 an | Maxime Pasture

Jeudi 1er juin 2023, en soirée, j’ai fait un rêve : je participais à un rallye-balade au volant d’une Continental GT Speed Cabriolet qui m’emmenait de Bruxelles au grand circuit des 24 Heures du Mans. Le tout, pour le centenaire de la plus légendaire des courses d’endurance…

Lorsque j’ai commencé à rêver, j’étais à la concession Mercedes de Drogenbos, pour le pré-départ du rallye. Là, nous avons reçu un roadbook, un briefing et… dans mon cas, étant seul à bord de ma monture vêtue en magenta, un Tripy. Merveilleux instrument pour ceux qui ne connaissent pas encore, remarquable d’efficacité et de fiabilité. En fait, le Tripy vous affiche les notes du roadbook automatiquement, tout simplement.

Le lendemain matin, la joyeuse bande de participants (près de 40 !) s’était donnée rendez-vous chez Bentley Brussels, là où j’avais pris possession de la Continental GTC Speed qui, avec sa peinture Purple, a marqué de nombreux esprits de Bruxelles jusqu’au Mans. Pour ce rallye « En route vers le centenaire des 24 Heures du Mans », la très dynamique délégation belge de l’ACO (voir ci-dessous) a eu une merveilleuse idée : n’accepter que des marques qui ont remporté la légendaire épreuve d’endurance mancelle et demander aux importateurs de jouer le jeu en prêtant quelques voitures. Bentley, BMW, Peugeot, Alfa Romeo, Alpine, Jaguar, Mercedes, Mazda, Audi et Toyota ont répondu favorablement. Bien sûr, Porsche, qui détient le plus de victoires dans la Sarthe (19), était représentée sur le rallye, tout comme Ferrari, Aston Martin et Ford. Même si McLaren et Bugatti manquaient à l’appel, ceci témoigne quand même de la grande réussite de ce rassemblement pour notre petite Belgique !

Tunnels secrets

En fait, la réussite est le maître-mot de tout ce rêve que j’ai vécu : du roadbook, jusqu’aux lieux et restaurants visités, en passant par le dimanche 4 juin, jour du test day des 24 Heures. Journée durant laquelle nous avons pu visiter les paddocks, la cabine du célèbre commentateur Bruno Vandestick, voir le podium ou encore certains tunnels secrets du circuit (oui, oui !). Sans oublier que le samedi après-midi, nous avons pu parcourir quasiment l’intégralité du grand circuit sarthois, avec notre voiture : un moment magique à suivre la Porsche 911 Turbo Safety Car officielle de la course !

De longues journées, bien animées, un vrai rallye-balade avec jusqu’à 410 km parcourus le premier jour. Mais dans tous les cas, bonne ambiance et sourires garantis. Si, l’an prochain, vous voulez vivre le même rêve que moi, vous savez ce qu’il vous reste à faire : devenir membre de l’ACO Belgium !

L’ACO Belgium, c’est quoi ?

L’ACO, Automobile Club de l’Ouest, est le créateur et l’organisateur des 24 Heures du Mans (dont la première édition a eu lieu en 1923). Ce club a été fondé en 1906 et compte, aujourd’hui, 30.000 membres à travers le monde. Une délégation vient d’ailleurs de voir le jour aux USA !

Née en 2016, la délégation belge ACO Belgium, pour sa part, rassemblera bientôt 300 membres. En plus d’un rallye annuel, ce club organise des conférences-débats avec des pilotes, une projection du film annuel des 24 Heures du Mans, des expositions, etc. Tout amateur/amatrice de sport automobile, du championnat du monde d’endurance et plus particulièrement des 24 Heures du Mans, y est le/la bienvenu(e).

Plus d’infos par e-mail à club.aco.belgium@gmail.com

Au volant de la Bentley Continental GT Speed Cabriolet

Confort, facilité d’utilisation et une motorisation 6.0 W12 bi-turbo forte de 659 chevaux et d’une souplesse remarquable avec 900 Nm disponibles dès 1.500 tr/min. Incroyablement stable à haute vitesse, efficace dans les parties sinueuses grâce aux quatre roues directrices et pas trop basse pour aborder les – trop – nombreux casse-voitures sur les routes françaises, cette Continental GTC Speed était peut-être bien la meilleure des GT pour ce rallye-balade. En plus, elle laisse tomber le toit en à peine 19 secondes jusqu’à 50 km/h. Que demander de plus ? On apprécie encore l’écran rotatif trifaces, exclusivité remarquable du marché automobile. En poussant sur le bouton « Screen », le grand écran tactile de 12,3’’ s’efface pour ne plus afficher que 3 instruments de bord (thermomètre, boussole, chrono). Dans notre exemplaire, le tout était aligné avec la planche de bord en fibres de carbone… Avec le tableau de bord digital très facile à manier et l’affichage tête haute, même en « effaçant » l’écran tactile central, on garde toutes les informations de navigation devant les yeux. Bref, comme déjà constaté lors de la présentation au printemps 2019, tout a été superbement pensé dans cette GT. Quelle expérience !

À partir de 300.000 € TVAC.

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